Publié le 28 Février 2017
Voici les 30 films avec des personnages LGBT qui ont été nominés et oscarisés ces 40 dernières années.
Chaque jour retrouvez toute l'actualité gay dans les médias : ciné, tv et dvd
Publié le 28 Février 2017
Voici les 30 films avec des personnages LGBT qui ont été nominés et oscarisés ces 40 dernières années.
Publié le 28 Février 2017
Aujourd'hui les chasseurs d'appart' ont eu la lourde tâche de trouver une belle maison en région parisienne pour Gilles, Jérôme et leur 2 adorables jumeaux.
Paris et sa banlieue : journée 2 - 6play
Retrouvez gratuitement les vidéos des programmes en streaming sur 6play : les émissions et épisodes de série en intégralité, des vidéos supplémentaires et les meilleurs extraits.
http://www.6play.fr/chasseurs-d-appart--p_5094/paris-et-sa-banlieue-journee-2-c_11660530
Publié le 27 Février 2017
L'Acteur Trevante Rhodes en caleçon pour la marque de sous-vêtement ça vaut le coup d'oeil et l'Oscar de la plus belle plastique !
Publié le 27 Février 2017
La 89e cérémonie des Oscars s'est déroulée depuis le Dolby Theater de Los Angeles ce 26 février. Une soirée présentée par l'animateur Jimmy Kimmel. L'an dernier, c'est The Revenant qui est ressorti grand gagnant de cette fête hollywoodienne du septième art. Cette fois, c'est la comédie musicale La La Land qui brille avec 6 Oscars. Moonlight décroche le prix suprême du meilleur film, après un moment chaotique. La défaite d'Isabelle Huppert va être engloutie par cette affaire improbable de confusion de nom ! Mais comment les remettants Warren Beatty et Faye Dunaway se sont retrouvés à dire le mauvais gagnant ?
Pas rancunière car nommé 5 fois sans jamais gagné et snobée cette année malgré ses performances dans Premier contact et Nocturnal Animals, Amy Adams sera celle qui apportera l'Oscar de la meilleure adaptation à Moonlight.
Invités à remettre l'Oscar du meilleur, le duo iconique de Bonnie & Clyde, Warren Beatty / Faye Dunaway, va sûrement et longuement ressasser cette scène. En ouvrant l'enveloppe, l'acteur de Bonnie & Clyde annonce avec sa partenaire La La Land comme lauréat. L'équipe, emmenée par ses producteurs et son réalisateur Damien Chazelle monte alors sur scène pour fêter le sacre... jusqu'à ce qu'une personne se rende compte que le mauvais nom a été donné
"Ce n'est pas une blague, vous avez remporté l'Oscar", a déclaré Jordan Horowitz, producteur de La La Land, fair-play et gentleman au possible devant l'énorme bévue commise. "Mais qu'as-tu fait Warren", ironise Jimmy Kimmel, ne comprenant pas non plus ce qu'il s'était passé. Il s'avère qu'en réalité, l'acteur américain s'est retrouvé avec l'enveloppe contenant le nom d'Emma Stone, la meilleure actrice, ce qui l'a induit en erreur en dépit d'une longue réflexion de sa part – ce que sa partenaire remettante a pris pour un désir de faire durer le suspens - avant d'annoncer le (faux) gagnant
Preuve à l'appui, c'est bel et bien Moonlight, de Barry Jenkins, qui a été sacré meilleur film aux Oscars 2017, remportant ainsi son troisième prix avec le second rôle pour Mashershala Ali et l'adaptation. "Très clairement, même dans mes rêves cela n'aurait pas pu être vrai. Mais au diable les rêves, j'en ai terminé avec eux parce que ceci est vrai", a déclaré Barry Jenkins en soulevant son Oscar, au coeur d'une séquence complètement chaotique conclu par un Jimmy Kimmel se sentant coupable. "Je savais que quelque chose allait foirer [...] Soyez-en certain, je ne reviendrais pas l'année prochaine aux Oscars", a lâché le maître de cérémonie, entre dépit et sourire jaune.
Source purepeople
Publié le 26 Février 2017
Le chanteur Portoricain Ricky Martin a eu beaucoup de coup de cœur dans sa jeunesse pour certaines célébrités, mais savez-vous qu'elle était sa préférée?
Eh bien, au cours d'une récente apparition dans l’émission Bravo's Watch What Happens Live avec Andy Cohen, Le crooner bientôt marié a révélé que c’était John Travolta. Notamment après l’avoir vu dans une scène très spécifique en sous-vêtements dans l'emblématique film « La fièvre du samedi soir ». C’est après ce flash qu’il a compris qu'il était gay.
"J'ai vu ce film à l'époque, plus de huit fois," se souvient-il.
Effectivement cette scène était assez ... intense à l’époque
Publié le 26 Février 2017
Ce soir se déroule la 89e cérémonie des Oscars. Diffusé en direct à partir de minuit sur
canal +.
On croise les doigts pour le film Moonlight.
Voici une petite rétrospective des 11 acteurs ayant remportés une statuette pour leur interprétation d'un personnage LGBT.
11 Straight Actors Who Won Oscars for LGBT Roles
Playing a queer character can be a short cut to Oscar glory.
http://www.advocate.com/film/2017/2/24/11-straight-actors-who-won-oscars-lgbt-roles
Publié le 25 Février 2017
Découvrez les heureux lauréats lgbt de cette 42e édition.
La 42e cérémonie des César a dévoilé ses lauréats ce 24 février au sein de la salle Pleyel à Paris. Après un tapis rouge étourdissant de glamour (merci George et Amal Clooney...), la fête a commencé et l'académie a récompensé du César du meilleur film le thriller Elle et évidemment son actrice, Isabelle Huppert. Juste la fin du monde et Divines ont décroché chacun 3 trophées tandis que le grand perdant sera sans doute François Ozon et son Frantz : 11 nominations et un seul César. La Danseuse n'a elle aussi obtenu que le César des costumes sur ses 6 nominations, Lily-Rose Depp s'est ainsi inclinée devant la "Divine" Oulaya Amamra.
Meilleur réalisateur : Xavier Dolan (Juste la fin du monde)
Meilleur acteur : Gaspard Ulliel (Juste la fin du monde)
Meilleur montage : Juste la fin du monde
Meilleure photographie : Frantz
Meilleurs costumes : La Danseuse
Source purepople
Publié le 23 Février 2017
"Tout ça est un peu trop scolaire pour être vraiment touchant."
Écrite par Dustin Lance Black et réalisée par Gus Van Sant en personne, When We Rise est l'un des événements de ce début d'année, à la télé américaine. Une mini-série en 8 épisodes, portée par Guy Pearce et Mary-Louise Parker, qui raconte les origines du mouvement LGBT dans les années 1970 et remonte jusqu'à nos jours, à travers les luttes personnelles et politiques de plusieurs militants. Une oeuvre ambitieuse et particulièrement dans l'air du temps... qui n'a malheureusement pas concainvu les critiques américains. Revue de presse.
The Hollywood Reporter explique d'abord que "même en 2017, alors que nous aimons penser que les frontières ont été repoussées encore plus loin et que les voix de la diversité sont de plus en plus entendues, When We Rise résonne comme une curiosité étonnante, sur une grande chaîne de télévision."
Entertainment Weekly estime aussi que la mini-série est utile : "C'est une histoire qui doit être racontée et doit être entendue (...) Mais on a un peu l'impression que When We Rise est un programme qui aurait pû (et aurait dû) être fait il y a 15 ans, sinon plus. Pourtant, j'ai été ému par cette histoire et j'ai appris beaucoup."
Variety y voit aussi une sorte de document historique, qui "provoquera probablement les mêmes ricanements que lorsqu'on diffuse une vidéo éducative dans une salle de classe remplie d'enfants. Mais ce qui compte, c'est que c'est une oeuvre pour l'Histoire (...) La simple existence de When We Rise est presque une vertu suffisante en elle-même. Mais il est vrai que dans son exécution, dans son ton, la série est franchement inégale, passant d'histoires d'oppression émouvantes à des récits déjà tellement étendus - et avec de si moches perruques ! Tout ça est un peu trop scolaire pour être vraiment touchant."
Las Vegas Weekly est du même avis et juge When We Rise "comme un outil de sensibilisation admirable, mais comme drama, il est loin de ses ambitions".
TVLine est finalement le plus cinglant : "La lutte pour les droits des homosexuels en Amérique est absolument une histoire que nous devrions tous apprendre. Il est donc dommage, que When We Rise, série boursoufflée et pédante, soit si difficile à digérer. Elle se veut être le dossier historique complet des droits des homosexuels en Amérique, mais sa structure lourde et l'écriture maladroite en font plus une note de bas de page..."
When We Rise, mini-série en 8 épisodes, diffusée à partir du 27 février prochain sur la chaîne améicaine ABC.
Source première
Publié le 22 Février 2017
Cela vous dit une petite séance de yoga version kilt ?
Moi j'adhère mais en spectateur car je serai bien incapable de faire ce genre de figures
Dommage que ce ne soit qu'une bonne blague.
Publié le 21 Février 2017
Le film de Barry Jenkins choque à cause de son langage cru et sa scène de masturbation.
On peut être un favori des Oscars et s’attirer quand même les foudres de la censure. C’est le cas de Moonlight, film initiatique de Barry Jenkins centré sur un personnage homosexuel issu des ghettos noirs-américains, qui a été censuré en Inde. La cause ? Le langage cru des protagonistes du film et les scènes de sexe (il s’agit en réalité d’une masturbation vue de dos et d’un rêve érotique plutôt suggestif fait par le héros, ndlr) ont entraîné des coupes et des modifications au montage. Un document posté sur le forum internet Reddit détaille les cuts imposés au distributeur indien ainsi que l’ajout d’une bannière anti-tabac concernant certaines scènes où les personnages fument.
En réalité, la censure du pays a surtout ciblé les gros mots tels que « fuck », « bitch » ou encore « dick ». Plus pernicieux que les scènes de sexe apparement trop subversive pour le public indien, la commission a également retiré les baisers échangés par deux personnages masculins. L’internaute qui a diffusé le document insiste sur le fait que John Wick 2, film d’action violent et très sanglant avec Keanu Reeves, n’a subi aucune modification ou coupure par la même commission. Y compris une scène dans laquelle un personnage se retrouve avec un canon d’un fusil à pompe dans la bouche avant de se faire exploser la cervelle. Deux poids, deux mesures en somme. Moonlight, quant à lui, est actuellement dans les salles françaises et a reçu pas moins de sept nominations aux Oscars 2017
Source première