Channing Tatum et Steven Soderbergh ont signé pour produire The Real Magic Mike , une émission de concours du meilleur striptease masculin pour HBO Max.
Selon Deadline , "la série transformera un groupe d'hommes en Magic Mikes. Dix hommes qui ont" perdu leur magie "se réuniront dans une série de compétitions, dévoilant leur âme et plus en apprenant à exécuter du stripteas pour être couronné Real Magic Mike. Le gagnant empochera un prix en espèces et l'opportunité de se produire sur la scène Magic Mike Live à Las Vegas.
Le casting de la série est actuellement en cours et devrait être diffusé sur la plate-forme de streaming plus tard cette année.
Coproduite par Lena Dunham (Girls), cette nouvelle production HBO Max se veut être un portrait éclectique et résolument inclusif de la génération Z. Et pour cause, elle est co-créée par Zelda Barnz, une adolescente de 19 ans.
Après l'excellenteIt's A Sin, voilà la deuxième claque queer de l'année 2021 ! Tout juste lancée sur la plateforme de streaming HBO Max outre-Atlantique,Generation dépeint une jeunesse moderne, dopée aux réseaux sociaux, dénuée de tabou et, surtout, parée d'une vision ouverte de la sexualité.
Ici, les personnages hétéros se comptent sur les doigts d'une main. Les garçons arborent fièrement du vernis sur leurs ongles. L'athlète populaire du lycée est aussi celui qui se pavane en crop-top arc-en-ciel dans les couloirs. En bref, une bouffée d'air frais en terme de représentation LGBTQI+.
Sublimer la différence
Une démarche inclusive qui n'est pas tant déroutante lorsqu'on sait qui se cache derrière ce nouveauteen drama. Commandée en septembre 2019,Generationest co-créée par Zelda Barnz, alors âgée de 17 ans. Elle est issue d'une famille totalement gay, avec deux papas gays – dont un des deux, Daniel Barnz, qui est également co-créateur et réalisateur du projet – et un petit frère qui vient de faire son coming out. L'authenticité était donc de mise, aussi bien sur le plan de l'adolescence que des questions LGBTQI+
Formellement, nous sommes en territoire connu :Generationest une série sur les années lycée. Univers surexploité à la télé américaine. On y suit les vies entrelacées d'un groupe decool kidsétudiant dans le même établissement. Il y a Nathan, qui commence à explorer sa bisexualité en fricotant en loucedé avec le petit copain de sa sœur jumelle Naomi. Puis, Greta, une jeune femme introvertie qui a le béguin pour Riley, une as de la photographie qui peine à s'engager. Mais le héros central de ce récit, c'est Chester. Un ado charismatique qui camoufle son mal-être par un tempérament provocateur et un style vestimentaire tape-à-l'œil.
A la manière du très mainstreamLove, Victorde Hulu, la série de HBO Max relègue les personnages hétéros au second plan, laissant, et c'est assez rare pour être salué, les ados queers briller devant la caméra. Un parti pris souligné dans le logo de la série, écritGenera+ion, le symbole "+" pouvant être lu comme un clin d'œil au sigle LGBTQI+. Et justement, c'est à peu près tout ce qu'on peut ranger dans la case des "+".
La petite sœur d'Euphoria
Car aussi sympathique et bien intentionnée soit-elle, Generationse repose beaucoup trop sur ses intrigues d'ordre sentimental. Quasi exclusivement portés par leurs émois amoureux, les personnages paraissent souvent superficiels ou peu incarnés. Omniprésents, les réseaux sociaux donnent lieu à des transitions ingénieuses au niveau de la réalisation, mais la série reste en surface, oubliant, par exemple, de questionner leur impact sur la santé mentale et la construction de sesteenagers. Et la comparaison avec d'autres œuvres mettant en scène la jeunesse, commeGrand ArmyouEuphoria, apparaît cruelle tant ces dernières semblent avoir plus de choses à dire sur la génération qu'elle s'affaire à dépeindre.
Le parallèle avec la brillanteEuphoriaest d'ailleurs inévitable. Là où cette dernière s'empare de thématiques plus lourdes comme l'addiction ou les violences sexuelles avec une photographie ultra léchée,Generationopte pour une légèreté ambiante, une dose d'humour et des visuels intimistes mais aussi beaucoup plus simplistes. En la montrant aussi futile et autocentrée, elle ne rend pas justice à la génération qu'elle ambitionne de célébrer.
Pourtant, la solitude qui ronge le personnage central de Chester – impeccablement joué par l'acteur queer Justice Smith qui avait faitson coming out en juin dernier– fait par moment écho à celle de la bouleversante Rue deEuphoria. Mais sans jamais en avoir la poésie.
Tout comme sa productrice Lena Dunham avec sa propre sérieGirlsquelques années en arrière,Generationespère être"la voix d'une génération". Une génération désabusée, hyperconnectée et chez qui les clivages de genre et de sexualité seraient enfin dépassés. Cette volonté de représentation est, certes, louable mais elle apparait surtout un brin forcé.
Generationgagnerait à dépasser ses sujets et à inclure dans son intrigue des thèmes plus variés. On lui donnera tout de même sa chance. Car une série qui allie Britney Spears, Jessie Ware et Todrick Hall dans sa playlist, on est tout de suite tenté de lui donner sa chance.
On pensait qu'il était difficile de concevoir une série plus queer que Euphoria. Et pourtant, la bande-annonce fraîchement dévoilée de cette future production HBO Max nous prouve le contraire. Top départ prévu le 11 mars outre-Atlantique.
Il semblerait que notre bien-aimée Euphoria fasse des émules. Preuve à l'appui avec Generation, un nouveau teen show qui s'annonce encore plus queer que son aînée – chose qu'on ne pensait pourtant pas possible. Sur fond de Troye Sivan, le trailer de cette série montre des adolescent·e·s aux prises avec leurs premières pulsions sexuelles et autres émois amoureux. Des garçons embrassent des garçons, des filles embrassent des filles. Il n'y a pas qu'un seul personnage LGBTQ+ : il y en a plein !
Ce qui différencie Generation des autres séries destinées à un public adolescent, c'est surtout qu'elle a été conçue par un tandem atypique. En effet, le show est créé par Zelda Barnz, une jeune femme de 19 ans (mais qui avait 17 ans quand le projet a été mis en chantier), et son père Daniel Barnz. Niveau authenticité donc, difficile de faire mieux. Mais en plus de ça, la jeune créatrice est ouvertement queer, tandis que son père s'avère être marié à un autre homme. Un projet LGBTQ+ de bout en bout, et ça se ressent.
Une programmation à surveiller
Côté diffusion, HBO Max proposera les premiers épisodes de Generation – qui est d'ailleurs produite par Lena Dunham, créatrice de Girls – à compter du 11 mars prochain aux États-Unis. Pour l'heure, difficile de savoir si une chaîne ou plateforme française compte acquérir les droits du programme. En tout cas, s'il y avait des rumeurs concernant l'arrivée de HBO Max par chez nous, on espère qu'elles seront vite avérées. Après tout, le service de streaming annonce des productions plutôt queer-friendly, comme la compétition de voguing Legendary, le reboot de Gossip Girl ou encore l'adaptation du roman More Happy than Not.
La mini-série britannique "It’s a Sin" débarquera bientôt sur HBO Max. La plateforme de streaming vient d’en dévoiler une bande-annonce du show qui nous plonge dans le Londres du début des années 1980, lorsque les habitants de la capitale ont pris connaissance du SIDA.
It’s a Sin, la nouvelle création de Russell T Davies
HBO Max mettra bientôt en ligne la nouvelle série britanniqueIt’s a Sin, quinous plongera dans le quotidien de jeunes homosexuels à l’époque de la découverte du SIDA. L’histoire se déroule à Londres, où Ritchie, Rosco et Colin débarquent en 1981. Les trois amis découvrent alors la vie nocturne de la capitale anglaise. Mais peu de temps après, ils apprennent l’existence d’un nouveau virus qui pourrait mettre leur vie en danger…
La bande-annonce d’It’s a Sinpromet une série au ton réaliste saisissant. Elle débute avec l’arrivée des principaux protagonistes à Londres. Les jeunes adultes semblent d’abord apprécier leur nouvelle vie, remplie de fêtes nocturnes. Avant que les premières rumeurs sur un virus dévastateur ne leur parviennent. Alors qu’ils ne prennent pas la chose au sérieux dans un premier temps,ils sont vite forcés de se rendre à l’évidence sur l’épidémie.
Le trailer nous prometune plongée réaliste dans la vie de jeunes homosexuelsà l’époque. Il montre également que la sérietraite aussi de la gestion du SIDA par le gouvernement britannique, qui cache l’information au public.
It’s a Sindans moins d’un mois sur HBO Max
It’s a Sina déjà été dévoilé en Grande-Bretagnesur Channel 4 et le service à la demande de la chaîne. Et les critiques se sont montrées dans l’ensemble séduites par la série. Celle-ci va donc être exportée.
HBO Max mettra en ligne l’intégralité d’It’s a Sindans un peu plus de trois semaines.Les cinq épisodes d’environ une heure qui composent la mini-sérieseront tous dévoilés le 18 février prochain sur la plateforme américaine.Celle-ci n’est pas encore disponible en France. On devrait néanmoins pouvoir découvrir le show prochainement sur Canal+
La série met en vedette le leader du groupe Years & Years : Olly Alexander dans le rôle de Ritchie Tozer, un adolescent gay qui déménage à Londres au début des années 80 alors que l’épidémie du sida ne fait que commencer. La série devrait retracer la vie de Tozer et de ses amis alors qu'ils découvrent la vie, l'amour et la mort au cours des années 1980.
Dans la bande-annonce, nous voyons un groupe de jeunes homosexuels parler de leurs espoirs et de leurs rêves pour la nouvelle décennie. C'est une scène inquiétante et percutante car nous savons ce qui arrivera à beaucoup d'entre eux.
Alors que la bande-annonce continue, nous voyons les amis danser, trouver l'amour, manifester, faire face à l'homophobie et s'interroger sur leur avenir.
«Pensez-vous sérieusement qu'il existe une maladie qui n'affecte que les hommes homosexuels?» demande Ritchie, en faisant référence au nombre de rapports initialement douteux sur le virus. «Je n'y crois pas.»
Davies a déjà déclaré qu'il travaillait sur cette émission depuis des années. «J'ai vécu cette époque, et il m'a fallu des décennies pour y arriver», a-t-il déclaré. «Et avec le temps, il y a un danger que l'histoire soit oubliée. C'est donc un honneur d'écrire ceci pour ceux que nous avons perdus et ceux qui ont survécu."
La série débutera en début d'année prochaine sur Channel 4 et HBO Max.
HBO vient d'annoncer une deuxième saison de cette série pour l'année prochaine.
Industrysuit un groupe de jeunes parvenus dans le monde de la finance londonienne. La série a fait le choix judicieux de se concentrer sur plusieurs femmes et hommes gays en tant que personnages principaux, ce qui lui donne une sensation rafraîchissante.
On peut suivre Gus (David Jonsson), l'un des jeunes investisseurs et son petit ami marié (à une femme). Il y a aussi Theo (Will Tudor) et le colocataire de Gus Kenny (Connor MacNeil).
Industry se distingue par un regard dur sur le monde de la finance. Les personnages se manipulent avec de l'argent, de la drogue, du sexe, du chantage et à peu près n'importe quoi d'autre.
Rempli de beaux acteurs, de décors chics et de suffisamment de nudité masculine frontale pour faire rougir Tom of Finland, Industry ne manque pas de drames ou de thèmes queer pour qu'il soit fascinant.
Veneno sur HBO Max , est une série en huit parties qui raconte une histoire trans sans précédent sur le passage à l'âge adulte. Elle aborde également le thème de la célébrité et de la perte de celle-ci qui peut détruire des vies. Tout cela dans un récit trans intergénérationnel vibrant et réalisé via une équipe de production centrée sur les talents trans dans des rôles trans.
Veneno présente à l'écran les mémoires de Cristina Ortiz, qui est devenue célèbre dans les années 1990 en Espagne après qu'un présentateur l'ait arrêtée alors qu'elle travaillait à faire le tapin pour l'interviewer. Ses réponses franches, impétueuses et sans excuse à propos de son métier - ainsi que sa beauté incontestable - sont devenues une sensation nationale. Elle a transformé cette notoriété en une carrière grand public et est devenue la personne trans la plus célèbre d'Espagne à son époque.
10 épisodes signés chez HBO Max, la plateforme de streaming de Warner Media.
Évoquée depuis des mois, la sérieGreen Lanternverra bien le jour. La plateforme HBO Max a profité du New York Comic-Con en virtuel, qui se déroule ces jours-ci, pour commander officiellement 10 épisodes de cette nouvelle adaptation super-héroïque, qui racontera l'histoire de plusieursGreen Lanterns- et non d'un seul héros, comme ce fut le cas dans le film mythique porté par Ryan Reynolds.
Greg Berlanti, le producteur, promet qu'il s'agira de la série DC "la plus ambitieuse, jamais réalisée à ce jour : Nous irons dans l'espace..."
Variety précise queGreen Lanterndépeindra les aventures d'une multitude de lanternes, dont Guy Gardner, Jessica Cruz, Simon Baz et Alan Scott - le tout premier Green Lantern de de la Terre, qui, fidèle à la bande dessinée, sera un homme gay - et bien d'autres.
La série HBO Max inclura également certains personnages favoris des fans tels que Sinestro et Kilowog, et introduira des héros inédits dans les rangs du Green Lantern Corps.
La série sera co-écrite et produite parMarc GuggenheimduArrowVerse... qui avait déjà co-écrit le filmGreen Lantern de 2011, ce qui ne réjouira pas les fans de DC. Il sera aidé parSeth Grahame-Smith, un scénariste deLEGO Batman, le film. Il sera showrunner de Green Lantern.
Le créateur de Queer as Folk et le showrunner du Dr Who , Russell T. Davies, a publié un teaser pour sa nouvelle série dramatique en cinq parties sur HBO se déroulant à l'ère du sida dans les années 1980. It's a Sin met en vedette Neil Patrick Harris et le leader de Years & Years Olly Alexander, et l'histoire suit un groupe de jeunes hommes qui deviennent amis à Londres alors que le spectre du VIH se profile juste devant eux.
HBO Max vient de mettre en ligne la bande-annonce d'Equal, la prochaine série documentaire en quatre parties sur l'histoire du mouvement des droits LGBTQ +.
Les pionniers des droits queer, les militants et les personnalités politiques au début des années 1970 seront représentés par des acteurs LGBTQ + tels que Anthony Rapp, Cheyenne Jackson, Hailie Sahar, Isis King, Jamie Clayton, Keiynan Lonsdale, Samira Wiley, Sara Gilbert...
"Equal honore les rebelles d'antan avec des images d'archives inédites ainsi que des représentations par des acteurs qui donnent vie aux histoires captivantes et authentiques de ces dirigeants et héros méconnus", a déclaré HBO Max dans un communiqué de presse.
«Les téléspectateurs rencontreront un large éventail de visionnaires LGBTQ + représentés par la distribution, dont beaucoup s'identifient comme membres de la communauté LGBTQ +.»
Le premier épisode fera la chronique de la montée de la Mattachine Society et des Daughters of Bilitis, deux des premières organisations LGBTQ +, tandis que le second explorera les émeutes de la cafétéria Compton de 1966, qui ont marqué le début de l'activisme transgenre à San Francisco.
La troisième partie examine les contributions de la communauté noire du mouvement des droits civiques LGBTQ +, et le quatrième et dernier épisode se plongera dans le soulèvement de Stonewall - l'événement qui a conduit au mouvement de libération des homosexuels et à la lutte moderne pour les droits des LGBTQ + aux États-Unis.
Equal sort le 22 octobre sur HBO Max. Découvrez la première bande-annonce officielle ci-dessous